Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute connaissance botanique. Les fleurs malheureuses continuaient de narguer au fil des semaines, chacune porteur d’un scintillement intérieur, invisible mais ressenti. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, choisissant les pétales en faisant référence à leur forme, avec leur inclinaison https://felixoafln.blogs100.com/34534286/les-pétales-du-artifices